Florennes

l'occupation

L'occupation allemande dans l'entité de Mettet


Le 04 août 1914, la neutralité de la Belgique est violée par l’Allemagne.

Suite aux massacres de civil et aux incendies des habitations, la Belgique va apparaître comme un pays martyr. C’est aussi le seul pays qui est presque totalement occupé. 

Mettet 1918, la fin de la guerre, l'arrivée des Alliés

Novembre 1918 : l'armistice, le départ des Allemands et l'arrivée des Anglais.

Le soir du 10 novembre 1918, dans Berlin enfiévré par la révolution et la proclamation de la république, le président du Conseil des commissaires du peuple, le social-démocrate Friedrich Ebert, se met en rapport par ligne secrète avec la Grand Quartier Général de l'armée à Spa. La veille, le viel Empire s'éffondrait dans la capitale.

Page 5 : les morts. Inhumations et recherches des disparus

Le champ de bataille :


Après les combats et le départ des français, c’est l’heure de compter les morts et de soigner les blessés. Concernant les blessés français, certains resteront sans soins plusieurs jours. 
 
L’abbé Donis de Mettet parcourt le champ de bataille et est témoin d’un spectacle qu’il n’oubliera jamais :
 

Page 4: Les blessés des combats

Les blessés des combats :


Les premières offensives françaises du 21 et surtout du 22 sont sanglantes et meurtrières.  Les blessés qui refluent en grand nombre arrivent vers Mettet et Biesme. Le nombre important de blessés pose dès le premier jour du combat des problèmes pour leur évacuation. Récit de Georges Veaux :

Page 3: Le 24 août, la retraite

Repli des 19e et  20e divisions :


Dès 2h00 du matin, les 19e et 20e divisions reçoivent l’ordre de se replier sur Florennes / Philippeville.
Il reste néanmoins des unités qui ont passé la nuit sur la ligne de front, surtout le 2e et le 47e régiment. Ces troupes évacueront juste avant la 74e brigade vers 7H00. 

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